v.s valentine siboni info information

fr

/

en

français

close fermer
expedition-4.jpg
expedition-1.jpg
expedition-3.jpg
expedition-5.jpg
expedition-7.jpg
expedition-9.jpg
expedition-13.jpg
expedition-14.jpg
expedition-16.png
expedition-17.png
expedition-4.jpgexpedition-1.jpgexpedition-3.jpgexpedition-5.jpgexpedition-7.jpgexpedition-9.jpgexpedition-13.jpgexpedition-14.jpgexpedition-16.pngexpedition-17.png

Une Ex­pédi­tion réelle vers une forme spec­tac­u­laire tou­jours in­con­nue.

En collaboration avec Maïa Berling.

Pour le festival INACT en 2014.

Voir la vidéo.

Nous, les performeuses, étions reliées par une corde. nous effectuions une suite d’actions, tentant de nous mener au Show, comme si faire un spectacle comprenait un certain nombre de règles.

Différentes étapes, comme une recette de cuisine, se sont dessinées, comme une réponse à la question Qu’est ce qu’il faut pour faire un show ?

Ces étapes, nécessaires au Show, étaient présentées l’une après l’autre.

Le fil rouge découle d’une relation simple et vitale : la corde.

Toutes deux attachées par un harnais, la corde d’escalade dit : 1+1

1 est : langage; corps; expression; émotion; conception; positionnement; rapport au monde..

Elle est l’outil articulant, et permet l’existence singulière du 1. Les deux 1 sont désormais inter-dépendants et inter-solidaires.

Si l’une chute ou bien décide une direction l’autre est contrainte par la volonté de l’un, et sa trajectoire, sa volonté se trouve modifiée.

L’association entre Maïa Berling, artiste clown, et Valentine Siboni, artiste plasticienne, vidéaste et performeuse a commencé en 2013. C’est la nécessité de sortir de leurs “façons de faire” respectives qui les a poussées à travailler ensemble. Cette association est née du désir de questionner ce qu’est, pour chacune, le live: rencontrer une audience et agir devant elle. La nature de la relation à l’audience, l’espace et les objets de chacune sont confrontés à ceux de l’autre afin de chercher à 2 comment faire “à nouveau”, différemment.

Une Ex­pédi­tion réelle vers une forme spec­tac­u­laire tou­jours in­con­nue.